Mon meilleur confident !

Année 2011 Mon meilleur confident ! Fleurs10

Jeudi 23 juin

Cher journal, j'ai conscience que peut-être aurais-je du commencer à y écrire dedans bien plus tôt. C'est à dire, le jour où ma mère me l'a offert, avant que tout dérape. Elle aurait voulu que je deviennes journaliste. Elle me disait que j'écrivais très bien. C'est un rêve que l'on partageait toute les deux. Elle disait que de tenir un journal intime m'aiderait en plusieurs choses, comme :

- améliorer mon écriture ;
- m'aider à me confier si je n'arrivais pas à lui parler à elle ou à mon père ;
- avoir un précieux ami à qui tout raconter.

Seulement, voilà, je n'avais encore jamais écris à l'intérieur pour deux raisons. La première étant que le lendemains même, il s'était passé quelque chose de bizarre avec mon père. J'avais formé un bouclier autour de moi inconsciemment, sans m'en rendre compte. Ce qui avait effrayé mes parents. A partir de là, ils ne m'avaient plus regarder du même œil et une seconde erreur était arrivé sur le tas, quelques années plus tard, j'avais empêcher de respirer mon père, sur ce, ils m'avaient chassé à coups de bâtons. Je n'avais donc pas eu le temps d'écrire à l'intérieur.
Et, la seconde raison, étant que j'avais tellement été dégouté par cela, que je n'avais plus eu envie d'écrire à l’intérieur de ce journal, offert par ma mère. Je ne nourris plus l'envie de devenir journaliste, c'était surtout une envie de ma mère. Et moi, j'avais voulu lui faire plaisir, qu'elle soit fière de moi.
Et, puis, de toute façon, j'ai tellement de choses à faire à présent.

Oui, j'ai été recueillie dans cet Orphelinat, il y a déjà de cela 5 ans. Le directeur est quelqu'un de gentil et m'a beaucoup aidé. J'ai travaillé sans relâche pour maîtriser mes pouvoirs.Je ne faisais que ça, car je ne voulais pas être quelqu'un qui pouvait faire du mal aux gens, voir même les tuer, sans rien pouvoir faire.
Il y avait déjà le système de clans, quand je suis entré ici. J'avais choisi les Lumen car j'avais peur au fond de moi, de devenir un être sadique, sanguinaire et ne voulant que faire du mal aux autres.
Et, plus tard, j'ai même réussi à devenir la présidente de ce clan. Il y a maintenant 2 ans que je suis à sa tête avec le seconde président Alejandro. Nous sommes même devenu très bons amis avec le temps.

A force, le directeur a été forcé de se dissimuler des autres. Le clan Umbra devenant trop violent. A présent, seuls les présidents peuvent le voir.

Seulement, ce n'est pas toujours facile de s'occuper d'un clan. Surtout lorsqu'on pense que tout le monde n'est pas forcément bon ou mauvais.

Ah ! Il faut que j'y ailles. On me demande dans mon bureau. Cela fait quand même drôle, d'être à la fois présidente d'un clan, en ayant à peu près l'âge des personnes y étant et d'être élève autour d'eux, sans que l'on ne sache qui je suis. De toute façon, si je divulguais qui je suis, j'irais forcément à ma perte.

Jeudi 11 août :

Cher journal, tout d'abord je dois m'excuser pour ne pas être venu écrire plus tôt. En fait, je n'en ai pas eu le temps, et ça risque d'être toujours comme ça. Après tout, je suis toujours débordée, dû à mon statue de présidente d'un clan. Même si l'on est deux présidents, Alejandro a souvent le chic pour disparaître.
D'ailleurs, celui-ci est rentré il y a à peine quelques jours de sa mission. Il était parti en Grèce pour s'infiltrer dans un QG de scientifiques. Elle avait été contente de le revoir.
Ah oui, sinon, ces jours-ci n'ont pas tous été très heureux pour moi. Surtout il y a quelques jours, dans la même journée, il m'est arrivé pleins de trucs bizarres.
La journée avait commencé par travailler au bureau. Je me souviens encore de toute la paperasse qu'il y avait entassé sur le bureau. Je ne pensais jamais en finir. J'y étais depuis la veille déjà. Enfin bref, une fois finie, j'étais allé au réfectoire mangé. Il y avait eu plusieurs personnes dont certaines que je connaissais déjà. Il y avait Shaky, Hachiko, Saïros, Feitan, Amy et Ryner. Saïros, que je ne connaissais pas encore été parti assez rapidement et je l'avait suivi. On avait été attaqué tout deux par un Umbra affranchi élémentaire feu simplement parce qu'il avait entendu qu'on était Lumens. Bref, j'avais failli mourir là, si Saïros n'avait pas été là. On a fini par s'en débarrasser. Mais, en allant à l'infirmerie, on a trouvé Shaky à terre. Ryner et Amy sont arrivés. Ryner n'avait pas l'air dans son état normal et il voulait nous attaqués. Heureusement, il est parti. On a déposé Shaky à l'infirmerie, on s'est soigné, et Saïros s'est confié à moi. En une journée, on était déjà un peu plus proche. Comme de bons amis. Sauf que, à son contact ou en pensant simplement à lui, mon coeur se met à battre à tout rompre, il résonne dans tout mon corps et il m'arrive de rougir. je n'arrive pas à comprendre ce sentiment, pour l'instant. Mais, je compte bien résoudre ce problème intérieur rapidement. Enfin, après j'ai été convoqué dans mon bureau, où j'ai appris que Ryner et Amy avait fait 11 morts dans le réfectoire, juste avant de venir nous voir. Amy avait juste regardé mais bon, pour moi, c'était pareil. Nous avions perdu 7 membres des Lumens. Et, je n'avais rien pu faire. Je me sentais énormément coupable. Et cela eut pour effet de me plomber la fin de la journée. D'autant plus que j'ai vu Amy au repas du soir. Ah oui ! Et aussi, maintenant je partage ma chambre avec Shaky, je suis super contente. J'ai appris qu'elle appartenait au même clan que moi, c'est super.
Et aussi...elle m'a ouvert les yeux. J'ai enfin compris ce sentiment que j'éprouvais envers Saïros. C'est tellement encore tout frais que j'ai du mal à le dire. En fait c'est...c'est...c'est de l'amour ! Voilà je l'ai dit.
Le lendemain, je me suis faite volé mon porte feuille. Alors ça, c'était le bouquet.
Bref, ces derniers temps, j'ai l'impression d'être poursuivie par la malchance.
Bon, c'est tout pour l'instant. J’essaierais de revenir plus rapidement la prochaine fois pour écrire la suite.
En fait, si je ne viens pas trop, c'est aussi parce que j'ai peur que quelqu'un trouve mon journal, alors je me dis que peut-être je devrais le brûlait. Je ne sais pas encore si j'en ai la force et le courage. On verra. En attendant, je vais faire en sorte de bien le cacher.